Il s'agit du mot étymologique perse qui signifie poudre de caverne. Nous l'appelons le réalgar. Il est connu depuis l'Antiquité et décrit par Pline ou Vitruve par exemple qui lui donne le nom de sandaraque. Cennini l'appelle Risalgallo et le décrit comme un jaune. Il est souvent mélangé à l'orpiment. Voir réalgar