Dans l'antiquité il s’agissait de tablettes constituées de deux volets mobiles réunis par une charnière. Ils étaient peints à l’extérieur et on écrivait à l'intérieur. Ce terme a été étendu aux tableaux d’autel peints ou en relief, constitués de deux panneaux. On parle de dyptique portatif quand les dimensions limitées de l’œuvre laissent la possibilité de le transporter en fermant les 2 panneaux comme 2 petits volets. Il existe aussi des dyptiques laïcs.