En 1930 lors d'une conférence internationale sur la restauration des peintures, une table chauffante, idéale pour le rentoilage, fut mise au pont pour la première fois. La table pour le thermocollage (dénommée table chauffante) était une grande plaque d'ardoise, maintenue à une température de 50/60 °C grâce à un chauffage réglable qui assurait la fusion uniforme de l'adhésif (cire et résine). En 1955, le système de la table chauffante fut perfectionné par l'association d'une enveloppe sous vide (afin de maintenir une pression uniforme) mettant ainsi au point la méthode de table chauffante sous vide, utilisée largement aujourd'hui. Le dernier développement né de l'utilisation de résines synthétiques pour le doublage des peintures, est la table basse pression qui permet de réaliser des doublages dits "à froid". |