Le nom de sandaraca a été donné en latin au réalgar (voir) qui est un sulfure d'arsenic. C'est sous ce nom qu'on le trouve chez Pline et Vitruve. Il était possible d'obtenir de la sandaraque artificielle à partir de céruse calcinée à laquelle on ajoutait de la rubrique. Toutefois il existe une résine récoltée sur les troncs incisés de petits arbres algériens ou marocains. La sandaraque commune qui varie du jaune au brun rouge. Il ne faut pas la confondre avec le pigment dont parle Pline et qui est comme il le dit une fausse sandaraque faite à partir de céruse que l'on cuisait avec de l'ocre rouge.